LITTERATURE. QUEBECOISE
Nous avons évoqué de très nombreux livres devant de très nombreux gâteaux et boissons..merci Sandrine!
Pour la littérature québécoise, plusieurs d’entre nous avaient lu » RU” de Kim Thuy et « la femme qui fuit « de Anais Barbeau Lavalette qui semblent bien connus au Québec.
Les avis étaient partagés: « Ru” évoque les souvenirs d’une réfugiée vietnamienne « boat people », parle davantage du Vietnam e que du Québec..Claude n’a pas trop aimé, et moi si ,pour son écriture légère et poétique
« La femme qui fuit » raconte l histoire d’une femme qui a abandonné ses enfants dans le Québec des années 50;là aussi les avis étaient partagés…moi, j’ai bien aimé et Christiane aussi je crois, on découvre le Montréal des Années 50 qui semble le lieu de la liberté par rapport au monde rural conservateur et étouffant.
Sandrine nous a parlé de « L’hiver de force » de Réjean Ducharme qui semble bien québécois par contre! Au point qu ‘on ne comprend pas toujours ce qu’il écrit! Un peu dubitative..
Christiane a découvert le polar québécois avec « Enlevez vos morts » de Louise Penny et recommande aussi: ‘Taqawa » de Eric Plamandon.
Christine a lu « Querelle » de Kevin Lambert, l’histoire d’une grève, décrit comme « le sexe comme arme de la lutte des classes » Spécial!
Magali a réalisé que une écrivaine japonaise qu ‘elle aime beaucoup vivait au Quebec! Il s’agit de Aki Shimazaki qui écrit en français diverses pentalogies qui racontent la même histoire sous des angles différents.
Nous remarquons que la littérature québécoise est à l’image du pays: jeune et multiculturel
Michel Edouard a lu « Chercher le vent » de guillaume Vigneault le fils du chanteur du même nom..Il pense plutôt que à force de chercher le vent! Il en fabrique…
Nous avons évoqué également d’autres lectures:
Plusieurs ont aimé « Histoire du fils » de Marie Hélène Lafon, et aussi « Les impatientes » de Djaili Amadou Amal sur la condition traditionnelle de certaines femmes africaines prix Goncourt des lycéens
On a évoque Carole Martinez à propos d’une rencontre organisée par Gerald de Murcia
Et on a évoqué « la familia grande » de Camille Kouchner: portrait d’un petit milieu social peu ragoutant plus que d’une époque à mon avis…
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